Je vous ai promis une histoire extraordinaire que j’ai vécu en Afrique (Oubangui Chari) devenu la République Centrafricaine. A cette époque je travaillé sur un chantier pour la recherche des mines de diamants.
Souvent pour mes recherches, il m’arrivait de m’engager profondément dans les savanes boisées et dans la forêt subtropicale.
Lors d’une recherche je fût amené à faire une rencontre insolite. Cela faisait plusieurs heures que je prospecté sous une chaleur accablante lorsque mon regard se posa sur la stature imposante d’un énorme buffle. Celui-ci attiré par mon odeur de prédateur potentiel, me regarda longuement, la tête relevé les lèvres retroussées.
Il me semblait que l’animal allait se précipiter sur moi et m’anéantir dans la foulée. Mon reflex dicté par une peur abyssale me fit réagir par des gestes et du cris que je pensais impressionnant.
Oui ils devaient l’aitre car me tournant brusquement la croupe il parti sans plus de menace à mon égard. C’est alors que, sans véritablement m’en rendre compte, je décidais de le suivre à bonne distance. Je voyais bien que l’animal regardait par dessu son épaule, ce demandant ce que je pouvais lui vouloir. Son attitude n’était pas celle de la proie qui se sent chassé par un prédateur redoutable. Je décidais donc de le suivre afin de savoir ou se dirigeait-il. Va-t-il rejoindre un groupe ou était-il simplement un vieux solitaire conscient de sa force, de sa puissance face à une agression possible sur ce terrain de chasse des Lions.
Oui ils devaient l’aitre car me tournant brusquement la croupe il parti sans plus de menace à mon égard. C’est alors que, sans véritablement m’en rendre compte, je décidais de le suivre à bonne distance. Je voyais bien que l’animal regardait par dessu son épaule, ce demandant ce que je pouvais lui vouloir. Son attitude n’était pas celle de la proie qui se sent chassé par un prédateur redoutable. Je décidais donc de le suivre afin de savoir ou se dirigeait-il. Va-t-il rejoindre un groupe ou était-il simplement un vieux solitaire conscient de sa force, de sa puissance face à une agression possible sur ce terrain de chasse des Lions.
Je restais pétrifié, ne sachant pas quoi faire, l’esprit en alerte, regardant tout autour de moi s’il n’y avait pas un refuge me permettant de fuir et de me protéger en cas d’une agression plus ou moins latente.
J’avais beau regarder de tous côtés, je ne voyais rien qui puisse me signaler un danger en dehors de ce monstre d’une tonne. Puis sans que rien ne le prédise, celui-ci reprit sa marche sans plus d’inquiétude. Cela ne me rassura pas pour autant. Enfin je le laissais prendre un peut plus de distance, recherchant toujours un endroit possible pour une retraite rapide et anticipée.
Nous avons avancé, l’un suivant l’autre encore quelques instants avant que je découvre devant le Buffle un monticule de plusieurs mètres (que j’évaluais à plus ou moins un rayon d’une cinquantaine de mètres). Ce qui me frappa immédiatement ce fut le silence qui entourait ce monticule de pierres plates, lisses et brillantes ou aucun insecte ne tourbillonnaient au dessu ou aux alentours proches. Ceux qui voyagé dans la brousse ou les savanes Africaine, connaissent bien ce phénomène qui fait que nous sommes toujours accompagnés par un nuage d’insectes.
Je décidais donc de rester sur la défensive et d’étudier ce phénomène pour le moins insolite. Jamais je n’avais assisté à pareille chose. Mon cœur battait la chamade. Seul la présente de « mon monstre d’une tonne » me permettait de ne pas fuir immédiatement. Quand je vis le Buffle se mettre en marche et escalader le monticule de pierres, je me dis qu’il n’y avait donc pas de prédateurs à proximité.
J’avançais avec prudence, ouvrant grand les yeux et me demandant si oui ou non j’aurais le courage de monter sur ce monticule de pierres luisantes sous le soleil. Plus j’avançais plus je me rendais compte qu’un superbe allo survolait les pierres. Autre phénomène, le nuage d’insectes qui entourait le Buffle avait disparu. Encore plus angoissant, je constatais que la masse du Buffle disparaissait au fur et à mesure que celui-ci avançait.
Je me frottais les yeux pensant à une hallucination de ma part suite à la sueur qui envahissait mon visage. Mais rien n’y faisait, l’illusion était toujours là, bientôt il resta que la groupe et un morceau de queue qui disparut à son tour. Je n’en croyais pas mes yeux, je me décidais à suivre la bête pensant la découvrir cachée par la végétation alentour, me disant que je l’avais perdu de vue et que j’allais la retrouver. Mais rien, aucun buffle de près ou de loin à l’horizon. Que devais-je faire ? Fuir ou continuer la traversée ? J’espérais ainsi revoir l’animal de l’autre côté du monticule. Je décidais donc de poursuivre plus avant. C’est alors que le bâton de marche que je tenais dans la main droite commençait à disparaître de ma vue. Que se passait-il ? Je m’arrêtais brusquement, un sentiment très proche de la peur commençait à me submergeait. Je ne suis pas d’un tempérament peureux par nature. J’ai déjà affronté beaucoup de danger (volontaire et involontaire) pour ne pas accepter sans réfléchir à ce qui se passais. C’est quand je décidais de prendre mon courage à deux mains que la panique m’a littéralement liquéfié sur place. En effet, la jambe droite que je venais d’avancer avait complétement disparue. Aucune douleur, aucun signe quelconque pouvant m’annoncer que je venais de perdre ma jambe. Je fis un bon en arrière qui me propulsa hors de l’ama de roche. Je sui restait ainsi plusieurs minutes en me posant des questions sur ce qui venait de m’arriver. Je fis immédiatement le rapprochement avec le Buffle. Ou avait-il bien pu disparaître. J’étais dans l’incapacité de donner une réponse cohérente. Peut-y à peu-y, je retrouvais mes esprits. C’est alors que mes yeux s’ouvrir comme des soucoupes en réalisant que le Buffle disparu venait de refaire son apparition à 100 mètres du monticule.
Il ne faisait plus aucun doute à mes yeux que je venais de découvrir une porte intersidérale ou pour être plus précis un Vortex Alien. Maintenant que j’avais analysé le phénomène, la pensée de faire le même parcours que le Buffle me venait à l’esprit. Plus je réfléchissais à cette option, plus mon instinct me disait de ne rien faire et de prendre mes gambes à mon coup et de ne pas tenter le « diable » par un excès de témérité. Aujourd’hui encore je me pose la question « aurais-je dû franchir les roches ? » En toute sincérité je crois que je regretterais toute ma vie n’avoir pas en le courage d’accomplir ce qu’un simple animal avait fait. Ai-je encore un doute sur les événements que j’ai vécus. Sincèrement non. Je suis toujours convaincu avoir été face à un Vortex emprunté par les races supérieurs que nous appelons à défaut d’autre nom les « Aliens »
Quand je suis rentré au camp de base, je n’ai rien dit à mes collègues ne voulant pas passer pour un fou ou pire pour celui qui inventait des histoires incroyables. Aujourd’hui, après 60 années de silence, j’ai décidé que le monde devait savoir que des Vortex existes à travers le monde.
Que ceux qui pense avoir un jour été en contacte avec ce genre d’expérience, n’hésitent plus à en parler et encore mieux, m’écrire pour m’indiquer dans le détail ce qu’ils ont vue.
Bernard Bieler de Bühem